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Un rôle de représentation nationale déployé à travers une pluralité de missions La Fédération Française de Détection de Métaux est identifiée et reconnue comme l’organisation nationale française chargée de représenter la pratique de la détection de métaux, la pêche à l’aimant ainsi que tous ses utilisateurs.

  • Militer pour obtenir la reconnaissance officielle de la détection de loisir ;
  • Défendre la pratique et les intérêts des Utilisateurs de Détecteurs de Métaux ainsi que ceux des pêcheurs à l’aimant ;
  • Promouvoir et contribuer au développement de la détection de métaux dans toutes ses dimensions et fidèlement à une éthique respectueuse de la propriété et du travail d’autrui, de la nature et de la planète ;
  • Accompagner et conseiller les associations et les indépendants fédérés
  • Animer et soutenir toutes les initiatives participant au renforcement d’un sentiment d’unité…

Autant de missions dans lesquelles la FFDM est engagée pour assumer pleinement et complètement son rôle multiple de représentation.

#1

Militer

La FFDM milite pour une reconnaissance officielle de la détection de métaux en tant qu’activité culturelle, éco citoyenne, familiale et récréative, à part entière.

Jusqu’à présent, la loi régit uniquement l’usage du détecteur de métaux à but “professionnel”, c’est-à-dire celui qui a une vocation archéologique. Pourtant, une autre pratique de la détection de métaux existe. Elle concerne près de 250 000 utilisateurs et elle n’a aucun lien avec l’archéologie. II s’agit de la “détection de loisir” dont le but est de rechercher des objets perdus et/ou à
dépolluer les sols d’objets métalliques enfouis à faible profondeur en dehors de tout site archéologique ou historique répertorié, dans des champs, forêts ou sur la plage.

L’absence d’un statut officiel de la détection de loisir conduit à une stigmatisation des utilisateurs par les autorités et juridictions compétentes qui a démontré sa contre-productivité pour les utilisateurs et le patrimoine. Bien qu’agissant en dehors de tout contexte archéologique, les UDM ne peuvent pas déclarer des objets intéressant l’art, l’histoire et l’archéologie sans risque des poursuites judiciaires.

Enfin, ambitieuse dans sa mission de reconnaissance de la détection de Loisir et de la sauvegarde du Patrimoine, la FFDM milite pour qu’à l’instar des bases PAS, PAN, MEDEA, DIME ou FindSampo la future base française intègre l’EPFRN
(European Public Finds Recording Network). Créée depuis 2006, l’EPFRN regroupe les bases d’enregistrement des trouvailles des pays d’Europe du Nord et de l’Ouest, l’ensemble des archéologues européens y ont accès pour leurs travaux.

Mission cruciale et fondatrice de notre organisation, la défense menée par la FFDM prend plusieurs formes. Ainsi, à chaque fois que les intérêts de la détection de métaux et/ou de ses utilisateurs sont attaqués ou remis en cause, des actions juridiques, portées par un cabinet d’avocats et en direction des plus hautes instances de l’État, sont intentées comme cela a été le cas devant le conseil d’État ou les Préfectures des départements de la Somme et de la Meuse où la détection était totalement interdite par arrêté préfectoral. Ces combats ont permis aux UDM de ces territoires de pouvoir pratiquer la détection de métaux sur des terrains non-nus et clôturés.

En 2021, le préfet de Meurthe-et-Moselle avait pris un arrêté pour interdire la pratique dans son département, arrêté retiré à la suite de la démarche de la FFDM. En début d’année 2023, la FFDM a déposé une plainte devant le Conseil de l’Europe, elle est toujours en cours d’instruction.

Pour défendre la pratique et ses utilisateurs, la FFDM s’investit de plus en plus dans le développement et l’intensification de relations institutionnelles en direction des pouvoirs publics avec pour objectif d’obtenir une reconnaissance légale de la détection de métaux de loisir.

Ce statut dédié permettra de déclarer et d’intégrer, dans une base de données ouverte, les objets intéressants trouvés de manière fortuite au cours de la pratique. Par ailleurs, pour éviter que des UDM se rendent sur les sites répertoriés, la FFDM souhaite que la carte archéologique soit accessible en ligne. Autre action de défense désormais systématique, la FFDM réagit immédiatement après la parution d’un article dégradant la pratique et/ou ses utilisateurs et demande que soit entendu et relayé un point de vue différent de celui exprimé par ses détracteurs.

#2

Défendre

#3

Promouvoir

La détection de métaux est une activité de plein air qui a un impact significatif sur la dépollution des sols et la sauvegarde du patrimoine.

Ce loisir ne ressemble à aucun autre dans le sens où il peut se pratiquer à des fins très différentes. En effet, la détection de métaux est un loisir nature par excellence, procurant décontraction, favorisant le lâcher-prise et stimulant le plaisir de la découverte ; pour ceux et celles qui ont un fort intérêt pour l’Histoire et la sauvegarde du Patrimoine, la détection de métaux constitue une source de connaissances inépuisable ; régulièrement mise au service de la dépollution des sols, la pratique séduit aussi un très grand nombre d’UDM soucieux et heureux de jouer leur rôle de préservation de la planète et/ou de la santé du bétail ; enfin, même si cette finalité est beaucoup moins mise en lumière, la détection de métaux a, comme le révèle un grand nombre d’UDM, et notamment d’anciens militaires, des vertus réparatrices pour apaiser certaines épreuves de la vie et entretient efficacement la forme physique. Consciente des nombreux bénéfices qu’offre la détection de métaux, la FFDM s’emploie à promouvoir la pratique dans toutes ses dimensions. Le recours intensifié, depuis plusieurs mois, à des actions en direction des médias spécialisés ou grand public, semble être un levier porteur. Reportages très positifs sur tout le territoire dans les petits et
grands médias, interviews régulières du Président de la FFDM pour exposer les réalités de la pratique et faire aimer la détection de métaux, mise en lumière dans la presse locale de certains événements organisés par les UDM adhérents ou non à la Fédération… le véritable visage de la détection de métaux se répand peu à peu dans l’opinion contribuant à développer l’attrait de la pratique.

Très encadrée et trop souvent assimilée à l’archéologie, la pratique de la détection de métaux exige une grande vigilance dans la rédaction des protocoles de recherches d’objets ou de dépollution.

Ces documents sont indispensables, précisément pour prouver que la démarche de détection n’est pas archéologique.

Ainsi, qu’il s’agisse de créer une association consacrée à la détection de métaux ou encore de justifier une autorisation d’un propriétaire pour pratiquer sur un lieu donné, la FFDM conseille ses adhérents et élabore des documents facilitant ces démarches.

Au service du tissu associatif, la FFDM a accompagné la création de plusieurs associations locales dont le nombre progresse dans tout l’hexagone. Au profit de tous les UDM, la FFDM a mis à leur disposition des modèles de protocoles de recherche téléchargeables qui sont avalisés par son cabinet d’avocats.

"Si un UDM rencontre un problème, la FFDM le met en relation avec un avocat spécialisé pour une 1ère consultation juridique gratuite.
Un service réservé aux adhérents ayant souscrit l'option.

#4

Accompagner

#5

Animer

Comparable à une grande famille riche de la diversité de ses membres, la FFDM a à cœur de donner une âme à cette Communauté réunie autour de la détection de métaux et de la pêche à l’aimant.

  • Créer les conditions d’un lien d’appartenance et susciter un sentiment de cohésion sont ses objectifs.
  • Assurer une présence active sur les principaux réseaux sociaux (Facebook, Instagram, Chaîne Youtube)
  • Soutenir chaque année plusieurs événements (rallyes, opérations de dépollution…) organisés par des associations ou des groupes d’indépendants
  • Recueillir et mettre en lumière de « belles  histoires » de détection de métaux
  • Développer des « signes » de reconnaissance avec la création de goodies

La FFDM s’efforce de multiplier les points de contact et de rencontre au sein de sa Communauté UDM qu’elle souhaite régulièrement animer.